Dans notre société où la mort a vocation à
être cachée au profit de la vie que l’on veut croire éternelle, un deuil est
toujours une période particulièrement laborieuse. Un deuil caché l’est d’autant
plus et peut avoir des conséquences désastreuses.
C’est pourquoi nous vous proposons aujourd’hui un article sur les deuils socialement réprouvés, ceux qui vous plongent dans un état désemparé et pour lesquels nous vous donnons quelques conseils afin de , nous l’espérons, parvenir à les surmonter.
Nous sommes nombreux à avoir vécu un deuil mais trop souvent nous sommes désemparés face à la situation. Aujourd’hui nous vous proposons un article expliquant « Comment accompagner vos proches vivant un deuil ».
Les résultats de notre projet de recherche en collaboration avec la Fondation Saint-Luc, les Cliniques Universitaires St-Luc et l’Université de Liège sont enfin publiés. Retrouvez tout le détail sur la page http://www.lalyfoundation.com/resultat-de-projet-de-recherche-1/
La fondation Laly vous remercie tous d’avoir participer au financement de ce beau projet!
La Société Belge de Transplantation a collecté les nouveaux
chiffres relatifs au don d’organes. Nous voulions vous faire part de certains d’entre
eux qui nous semblent importants.
En 2018, 356 283personnes étaient enregistrées auprès des communes comme ayant la volonté d’être donneur. Seuls 196 202 étaient enregistrées comme étant formellement contre. Les autres nationaux belges n’ont pas fait enregistrer leurs desideratas à ce sujet. Pour rappel, la loi belge prévoit que l’on soit donneur par défaut, sauf refus de la part des proches.
Sur les décès de l’année 2018, 780 personnes pouvaient potentiellement être donneurs d’organes, 335 organes ont effectivement été transplantés.
Les raisons évoquées pour refuser un don concernent le plus souvent une éventuelle impossibilité d’ordre médical ou une objection de la part de la famille du défunt.
Ce dernier chiffre de refus familial reste constant depuis une dizaine d’années malgré la sensibilisation au don d’organes. Cela démontre donc l’importance d’en discuter avec vos proches afin qu’ils connaissent vos intentions à ce sujet (ou de vous enregistrer auprès de votre commune). En effet, les proches ne voulant pas aller à l’encontre d’une volonté du défunt, ont tendance à refuser le don dans l’hypothèse où ils n’auraient pas la certitude qu’il s’agisse du souhait réel de la personne.
En 2018, Le donneur le plus âgé pour un don de foie avait 93 ans (foie). La médecine permet d’accepter des donneurs de plus en plus âgés, il n’y a donc pas d’âge pour faire ce don de soi.
Un grand nombre de personnes sont toujours en attente d’un don d’organe. Faire ce don, que ce soit de son vivant (rein, foie partiel, …) ou une fois décédé ( cœur, poumons, …), est un acte d’une générosité infinie qui permettra dans tous les cas d’améliorer la vie d’une personne voire même de la sauver.
Retrouvez tous les chiffres dans le rapport de la Société Belge de Transplantation dans notre section Don d’organes/ Liens utiles